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La presse qui n’urge plus
Les articles de 1990/1991
samedi 27 décembre 2003, par
... un Borinage angoissé mais truculent, avec fraîcheur, mais aussi avec toute la profondeur de la maturité.
Jean-Claude Bologne
La Wallonie, 28/05/1990
Ce tourbillon, pataphysiquement, est une spirale : il a un centre. Et ce centre, c’est une question. Celle que tout le monde s’est déjà posée, mais qui prend ici des dimensions telles qu’aucune encyclopédie ne peut y répondre. Qui suis-je ?
Jean-Marie Klinkenberg
La Wallonie, 17/07/1990
A l’évidence, Pascal Samain a choisi un sujet trop grave pour le traiter sérieusement.
Pierre Maury
Le Soir, 12/04/1990
Comment peut-on s’appeler, quand on est enfant du Borinage ? Ducoron, naturellement.
Républicain Lorrain, 27/04/1990
Une réflexion sur la capacité du roman à pouvoir refléter notre monde, pas tellement viable.
Michel Paquot
La Cité, 10/05/1990
Les bases d’un nouveau roman social, politique ou économique ? Non, Samain n’est pas un nouveau Plisnier ni un nouveau Malva. Farce truculente, langage coloré, un tantinet irrévérencieux et paillard. On joue ici au roman comme d’autres jouent au combat naval.
Jean-Baptiste Baronian
Le Vif, 06/04/1990
Il y a du Queneau dans cette irrévérence de Pascal Samain, dans cette apparente légereté du dit au profit du dire.
La Province, 21/06/1990
The star of the novel, "le petit Ducoron", is a young boy in search of life’s buried secrets. His mother is the Belgium’s greatest "piqueuse de culs."
The European, 15/06/1990
Pascal samain réussit une percée dans la grisaille des devoirs d’écrivains.
Art et Culture, juin 1990
L’auteur en rajoute encore en jouant le personnage du belge plus romancier belge qu’il n’est permis.
Jean Mergeai
Vers l’Avenir, 08/10/1990
... humour détaché et désabusé, regard un peu perdu d’un gosse qui se réfugie dans un délire verbal. Un roman belge pour tout dire.
Michel Torrekens
Le Ligueur, 24/08/1990
Attention ! Zazie est de retour !
Indications, septembre 1990
... un petit cà´té exorciste ...
Michèle Comminette
La Lanterne, 06/07/1990
Ce roman pensé est écrit avec beaucoup d’amour et de soin. Un vrai plaisir.
J. Dath
Nord-Eclair, 10/06/1990